• chapitre 9

     

    Mon ventre se mis à gargouiller, je pris une pomme dans mon sac à dos, je lu les lettres suivantes. Il s'excusait, demander de nos nouvelles en suppliant ma mère, donner des détails sur sa mission et son importance. En tout une vingtaine de lettres jamais ouverte que j'avais lu, dans aucunes de ces lettres il parlait qu'il abandonner sa mission afin de nous rejoindre. C'était l'une des choses que je lui reproché, je ressentais une profonde tristesse pour ma mère, pour mon père je ressentais de la colère, de l'incompréhension. J'avais plus le sentiment d'avoir été une enfant non désirée et fuit par son propre père. Je découvre une dernière lettre sous une carte qui venait toujours de mon père. Je la prit puis l'ouvrit
    "Alcina,
    J'ai appris par un de mes amis assassin que tu te portais très bien. Je sais également que tu as choisi Alexandre pour notre petit garçon et Blake pour notre petite fille, ce sont de très jolie prénom. Je vous aimes tous les trois, je pense fort à vous. Je serai peut-être bientôt de retour.
    Ezio"
    J'étais contente d'apprendre que mon propre père connaissais finalement nos prénoms mais je gardais quand même de la colère pour ce qu'il avait fait. Je ne savais pas quoi penser de tout ça, il fallait que je retrouve ma mère, ma vrai mère. Je fini ma pomme et sorti du bureau que je ferma puis du temple, j'allais me diriger vers la ville quand je tomba nez à nez avec ma mère. Quand elle me vit son regard devient triste, je me précipita dans ses bras. Alcina fut surprise de mon comportement mais me serra dans ses bras de toutes ces forces.
    -Blake : je suis désolé, j'aurais du te croire...mais pour moi c'était trop beau pour être vrai.
    -Alcina : ne t'excuse pas Blake, tu es et restera à jamais ma fille quoi qu'il arrive.
    -Blake : je t'aime maman...
    Le cœur d'Alcina se serra en m'entendant dire ça, des larmes coula sur ses joues et me serra un peu plus fort contre elle.
    -Alcina : moi aussi je t'aime Blake...j'aurais aimé te voir grandir...
    -Blake : ce n'est pas ta faute, mais je ne suis pas sur de pouvoir pardonner papa pour ce qu'il nous a fait.
    -alcina : tu es au courant...sache une chose Blake pour moi ton père est mort le jour ou il est parti sans rien dire
    Je pleura en silence dans ses bras, nous ne remarquons même pas Alexandre qui nous regardait de loin en souriant.