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chapitre 10
Alcina releva la tête en me gardant dans ces bras et vit mon frère
-alcina : alexandre approche
Je me détacha des bras de ma mère et regarda celui qui était mon véritable frère, je le vis hésitant puis il couru et me prit dans ses bras. Il me serra très fort contre lui.
-Alexandre: je savais que tu étais encore en vie
Je serra à mon tour mon frère dans mes bras, j'étais tellement heureuse d'avoir retrouver ma vrai famille
-...: ma famille au grand complet
On regarda en direction de la voix et vit un homme sortir de derrière une des colonnes d'un temple. Je vis ma mère serrer des poings, je pris une de ses mains dans la mienne. Elle me sourit comme pour me rassurer puis lorsque son regard regarda l'homme devant nous il devient vide mais rempli de colère.
-alcina : comment peux tu prétendre que c'est ta famille toi qui nous a abandonné... Ezio
Je regarda l'homme qui était devant nous qui était donc notre père
-ezio : alcina je t'es expliquer mes raisons dans mes lettres
-Alcina : lettres que je n'es jamais ouverte et jamais lu
-Ezio : je t'en pris Alcina, je suis là maintenant
-Alcina : après 20 ans d'absence tu crois vraiment que tout es rester comme avant (rire nerveux) tu rêves Ezio, j'ai retrouvé ma fille et c'est tout ce qui m'importe aujourd'hui tu croyais quoi ? Que je te sauterai dans les bras après ce que tu as fait ?
-Ezio: retrouver ? Non bien sûr que non...
-Alcina : oui retrouver, il y a 17 ans moi et blake avons été séparer lors d'un accident et toi ou étais tu ?! J'avais besoin de ton soutien dans ce moment difficile mais tu n'étais pas là tu as préféré rester là haut a accomplir ta mission au lieu de voir tes propres enfant grandir!
-Ezio : je sais ce que jai fait, je t en pris pardonne moi...
-alcina: cest trop tard Ezio...
Alcina prit la main de mon frère et garda la mienne dans son autre main
-ezio : blake, alexandre dites quelques choses...je suis votre père c'est moi...
Je pris la parole avant mon frère
-blake : pour moi tu nes rien, je ne te pardonnerai pas ce que tu as fait a maman, moi je les ai lu tes lettres. Tu me déçois beaucoup.
-alexandre : ma sœur a tout dit
-blake & alexandre : donc nous n'avons rien à dire, a te dire
Alcina se retourna et nous entraîna vers la ville, laissant notre père seule avec ces regrets