• chapitre 6

    chapitre 6

    Quelques jours passa après mon accident, j'étais retourné chez moi le soir même. Je me promenais au milieu des vieux temples grec, je fus surprise de voir que l'un des temples était assez bien conservé. Je rentra à l'intérieur, je trouva un vieux drapeau abîmé avec le symbole des assassins dessus. Je m'avança encore puis m'appuya sur l'un des murs, soudain ma main s'enfonça dans le mur avec la pierre, j'entendis un drôle de bruit qui me fit me retourner. Je vis qu'un passage secret souterrain s'ouvrit, je m'approcha et décida de descendre prudemment les marches. Je me retrouva dans une pièce assez grande comme un bureau secret qui semblait abandonné depuis plusieurs années maintenant. Je vis sur le bureau poussiéreux de vieille lettres même pas ouverte, j'en pris une dans mes mains et vit le nom "Alcina Auditore" cette lettre ainsi que les autres était destiné à ma mère ce qui voulait dire que c'était sûrement son bureau secret ici, je retourna la lettre et vit de qui elle venait. Au dos de cette enveloppe je vis le nom de "Ezio Auditore", toutes les lettre provenait de mon père
    -Blake : pourquoi ne les a tu jamais ouverte maman ?
    Mon regard fut attiré par un coffre, je reposa les lettres et me dirigea vers celui ci qui était fermé à clé. Je retourna au bureau et ouvrit un tiroir qui était le tiroir central, je tomba sur plusieurs carte de la ville ainsi que d'autres lettee puis je trouva la clé. Je me dirigea vers le coffre, l'ouvrit puis vit un livre poser sur des vêtements. Je prit le livre dans mes mains, quelque chose tomba du livre, je me baissa et le ramassa. Il s'agissait d'un portrait d'une femme tenant deux enfant dans ses bras. Je retourna le portrait et vit une écriture "Alcina Auditoire et ses deux jumeaux Alexandre et Blake Auditore", je regarda à nouveau le portrait je vis un petit garçon portant la même croix que moi ainsi qu'une petite fille avec le même collier je me reconnue sur ce portrait puis je regarda le portrait de ma mère.  Je m'assis difficilement sur la vieille chaise du bureau, je reconnaissais cette femme. C'était la femme qui était venu me voir à la clinique quelques jours plus tôt, elle ne m'avait pas menti...c'est bien elle. Je senti des larmes couler sur mes joues mais les secha vite, j'ouvris le livre. Je vis que c'était un journal, je décida de revenir chaque jour dans cette pièce afin de le lire. Je le posa sur le bureau, un autre cadre sur le bureau m'attira, je le prit, retira la poussière puis vis deux enfants qui n'étais personne d'autre que mon frère et moi, étant donné qu'on était tous les deux debout sur nos jambes on devait avoir deux ans à cette époque.