-
chapitre 5
Je regarda cette femme, et lui sourit
-Blake : je vois, vous le remercierez pour moi et lui dire que je passerais le voir
Je vis les yeux de cette femme se remplir de larme, chose qui me surpris et m'attriste à la fois. Elle prit mes mes mains dans les siennes puis son regard regarda mon pendentif dans forme de croix que je portais.
-Alcina : ce pendentif tu la depuis tes deux ans c'est ta mère qui te la offert...ton prénom ainsi que ta date de naissance y est gravé derrière
-Blake : oui c'est ma véritable mère qui me l'a offert j'ai été adopté...mais...comment le aviez-vous ? Qui êtes-vous ?
Elle me regarda dans les yeux, elle retenait ces larmes
-Alcina : je suis Alcina Auditore, mère de Alexandre et Blake Auditore. Ma fille a disparu lors de ces 3 ans je ne les plus jamais revu. Je la croyais morte dans cette accident...
Mes mains trembla, je senti les mains d'Alcina resserrer les mienne. Je retira mes mains des sienne et me coucha dos à elle en me recroquevillent sur moi-même
-Alcina : Blake que ce passe t'il ?
-blake: allez vous en, vous avez pas honte de vous faire passer pour ma mère, vous n'imaginez même pas une seconde ce que je vis tout les jours, avec la peine et le malheur de ne pas connaître mes vrais parents...
Je pleurais à chaude larmes, Alcina posa sa main sur mon épaule
-Alcina : mais Blake...
-Blake : je vous ai dit de partir, laissez moi tranquille !
La tristesse et la douleur se laissait dans le regard d'Alcina, elle passa une main dans mes cheveux puis y déposa un baiser puis elle parti à contre cœur. Elle tourna dans la ruelle à côté de la clinique, ce laissa glisser contre le mur et éclate en sanglots. Elle avait la sensation d'avoir perdu sa fille une deuxième fois, une douleur lui prit au niveau de la poitrine qu'elle serra. Alexandre, mon véritable frère vit sa mère et sauta du toit ou il était
-Alexandre : mère que se passe t il ?
-Alcina : ce n'est rien ne t'inquiète pas
-Alexandre : rentrons à la maison
Alexandre aida Alcina à se relever et tout les deux ils rentront chez eux. Quand à moi, je m'étais endormi recroquevillé sur moi-même, les traces de larmes encore visible sur mes joues.