• chapitre 8

    chapitre 8

    Le lendemain, je prépara un sac avec de quoi manger et boire, je me dirigea vers le temple et rentra à nouveau dans le bureau. Etant de nature très curieuse, je m'assis sur la chaise du bureau et prit le tas de lettre non ouverte écrite par mon père, je prit la deuxième lettre ayant lu la première hier soir et l'ouvrit
    "Alcina,
    Je n'es pas eu ta lettre, m'en veut tu a ce point ? Etre parti quelques minutes après la naissance de nos enfants n'était pas la meilleures décisions que j'ai pris dans ma vie, je ne vois pas mes enfant grandir ce qui m'attriste beaucoup. J'aurais aimé les voir grandir, je ne sais pas quand ma mission se terminera mais j'espère qu'elle sera vite terminer.
    Je t'aime,
    Ezio"
    J'arrivais pas à le croire, mon père ne sais pas nos prénoms, il nous a abandonné quelques minutes après notre naissance pour effectuer une mission au lieu de rester auprès de sa famille. Je ressentais un drôle de sentiment, comme de la tristesse mélanger avec de la colère, je pris la troisième lettre les mains tremblante
    "Alcina,
    Je commence à m'inquiéter, est-ce que tu reçois vraiment mes lettres ? Si oui, pourquoi n'es je aucune réponse. Si tu ressens de la colère envers moi je comprend mais écrit moi je t'en pris.
    Ezio"
    Ma mère devait vraiment beaucoup lui en vouloir pour n'avoir jamais ouvert ni répondu à ces lettres, j'avaisbeaucoup de respect envers elle. Je regarda la Cinquieme lettre, prit une grande inspiration puis l'ouvrit.
    "Alcina,
    J'ai compris que tu m'en  voulais énormément, mais je t'en pris donne moi des nouvelles de mes enfants, comment sont-ils ? Comment ils vont? Quels sont leurs prénoms ? Donne moi de leurs nouvelles et des tiennes, vous me manquez beaucoup.
    Ezio"
    Je compris la réaction de ma mère quand je lu cette lettre, c'était la cinquième lettre est en aucun cas il disait qu'il arrêtait sa mission pour rentrer afin d'être auprès de nous pour nous voir grandir. Il me décevrait beaucoup je n'avais jamais imaginer qu'il serai parti comme ça alors que ma mère avait besoin de lui.